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Dollard des Ormeaux, La belle aventure de Ville-Marie, La fondation de Montréal

Si nous voulions marquer en peu de mots les motifs qui ont amené les Européens en Amérique, nous dirions que les Espagnols y vinrent pour chercher de l’or, les Anglais la liberté politique et religieuse, et les Français pour y répandre la lumière de l’Évangile. (F.X. Garneau, Historien)

Maisonneuve, Jeanne Mance, Marguerite Bourgeois, trois noms qui brillent d’un vif éclat dans les annales de Ville-Marie, cette fondation catholique et française au cœur des tribus hostiles. Quand ils débarquent sur l’île, le 18 mai 1642, leur but est « de travailler purement à procurer la gloire de Dieu et la conversion des sauvages ». 

Leur œuvre est toujours debout. Depuis trois cents ans, les Hospitalières dirigent l’Hôtel-Dieu de Montréal, fondé par Jeanne. La Congrégation Notre-Dame, de Sœur Marguerite, est présente sur les cinq continents. Et malgré la domination anglaise, la ville fondée par Maisonneuve est restée celle de la Croix et des Lys.

Reproduction par reprographie de l'édition originale (Editions Apostolat de la Presse, Montréal, 1959).

Ref : A098 196 pages 13x20 cm

15 € port offert

Du même auteur, quatre ouvrages réédités par nos soins :

réunis en un volume :

D’Iberville, le Chevalier des mers

& Martyrs des Mohawks (saint Isaac Jogues)


réunis en un volume :

Un héros de la Cristiada, Le Père Pro

& Radisson, le Roi des bois

Voir aussi l'ouvrage de Clotilde Jannin (Edilys, 2023) : Marie de l'Incarnation, une âme d'apôtre.

Dollard des Ormeaux, Un héros de la Cristiada, le Père Pro / Radisson, le roi des bois


 Le Père Pro : 

Durant la persécution mexicaine, les Cristeros, nouveaux Vendéens face aux colonnes infernales, ont tenu tête pendant trois ans au gouvernement communiste. Vainqueurs militairement en dépit de l’aide massive des États-Unis, ils furent trahis par l’épiscopat, lors de la paix négociée en 1929... Le Père Pro, pendant cette période, va exercer son périlleux ministère dans la capitale sous divers déguisements. 

Radisson, le Roi des bois :

Tour à tour au service de la France et l’Angleterre, cet aventurier marqua profondément les débuts de la Nouvelle-France, dont le commerce des fourrures était la principale richesse. Malgré les lacunes de son patriotisme, par sa bravoure, son habilité, son prestige auprès des Indiens, il demeure le type et le roi des coureurs des bois.

L’auteur, en religion Frère Charles-Henri FIC, écrivit de nombreux ouvrages pour ses élèves, au Canada. Courts récits, rassemblés ici en un volume.

A partir de 12 ans

Ref : A097  14x20 cm. 190 pages

16 € port offert

René Bazin, Le mariage de mademoiselle Gimel, dactylographe


 [...] 
Il était exactement trois heures quarante-cinq, quand le bruit d’une musique militaire s’engouffra dans la salle où travaillaient les dactylographes. Mademoiselle Raymonde se leva la première, esquissa un pas de galop, en secouant sa jupe, et dit :
— J’y vais ! je ne manque jamais d’aller les voir !
Mademoiselle Marthe dit :
— Je n’aime pas leur métier, mais j’y vais tout de même.
Evelyne hésita un moment, et suivit ses camarades. Les trois jeunes filles coururent jusqu’au fond du couloir, à gauche, et se penchèrent sur l’appui de la fenêtre. Un régiment passait, remontant le boulevard Malesherbes, tous les cuivres sonnant. Première compagnie ; deuxième compagnie, les hommes marchaient vite, troisième compagnie : un officier placé en serre-file, et qui a l’allure nerveuse d’un alpin, un grand, à mâchoire carrée, la moustache courte et la joue plate, un jeune, qui regarde, comme l’ordonne la théorie, à vingt pas en avant, arrivé à la hauteur de la banque Maclarey, tourne la tête, aperçoit les trois jeunes filles à la fenêtre, salue de l’épée, et continue sa route. Le geste a été prompt ; mais on l’a vu.
— Eh bien ! ma chère, c’est vous qu’il a saluée ?
— Mais non, c’est vous.
— C’est vous !
Un fou rire de Raymonde et de Marthe. La fenêtre est fermée. Qu’importe la fin du défilé ? On revient dans la salle des copistes. Mademoiselle Raymonde n’a pas de peine à deviner l’émotion d’Evelyne. Elle a surpris, au moment même où l’officier saluait, un geste de recul involontaire de sa voisine. Étonnement ? protestation ? colère ? Preuve, en tout cas, et aveu. [...]

Suivi de quatre courts récits, ce délicieux roman nous plonge dans le Paris des années 1907.

Ref. A096  248 pages 14x20 cm 

18 € port offert

René Bazin, La barrière

Ce roman commence en Angleterre par un tournoi de tennis. Mais très vite, dans cette société qui semble si paisible, apparaît l’envers du décor : entre le père et le fils, va se dresser la barrière de la religion : le baron protestant n’accepte pas que son fils Réginald choisisse la religion catholique...
Le roman continue à Paris, où Réginald, en recherche de la Vérité, croise de nouveau la route de Marie Limerel ; celle-ci aime son cousin Félicien, mais ne peut l’épouser, car il a perdu la foi : une barrière se dresse entre eux...
Il s’achève en Italie, où Réginald «voit l’Hostie se lever au-dessus des collines », et retrouve Marie...
Facile et agréable à lire, ce roman sera à conseiller à tous les fiancés en quête d’un mariage fondé sur une même foi vécue.

Ref. A095  224 pages  14x20 cm

16 € port offert


 

Clotilde Jannin, Marie de l'Incarnation, une âme d'apôtre

Clotilde Jannin vous offre son sixième ouvrage édité par nos Editions :
          Avec Marie de l’Incarnation, une âme d’apôtre, l’auteur nous immerge dans la vie quotidienne des Français au temps de Louis XIV, avant de nous transporter de l’autre côté des mers, en cette Nouvelle-France dont « l’histoire est une épopée », comme le chante l’hymne national canadien. Accueillie à Québec par le gouverneur de Montmagny, la sainte Ursuline y fondera le premier monastère et pensionnat pour jeunes indiennes, avant que les Iroquois, armés et excités par les protestants, ne viennent massacrer les tribus converties, réduisant à néant les efforts de civilisation des sauvages d'Amérique du Nord.

A partir de 12 ans.

Ref A094   180 pages, 11x18,5 cm

16 €

Dollard des Ormeaux, D'Iberville le Chevalier des mers/Martyrs des Mohawks

 

D’Iberville, le Chevalier des mers :
Corsaire sous Louis XIV, le “Jean Bart canadien” découvrit l’embouchure du Mississipi et fut la terreur des Anglais, qu’il faillit chasser d’Amérique.

« L’un des plus grands marins et l’un des plus habiles navigateurs que la France ait jamais eu. » (Guérin, Les navigateurs français)
« Un de nos plus grands hommes français, Le Cid canadien.» (Ch. de la Roncière, Histoire de la Marine française)

Martyrs des Mohawks :
La vie des martyrs canadiens, saint Isaac Jogues et ses compagnons, dans cette Nouvelle-France où les Hurons et les Iroquois sont en guerre, est racontée avec brio par Frère Clément, de l’Instruction chrétienne, alias Dollard des Ormeaux.
A partir de 12 ans

Ref. A093  14x20 cm.  196 pages

17 €